Le Forum du RCDB Team
Samedi 5 mai, YOUHOUUUUU c'est le grand jour !
C'est le moment tant attendu, c'est le départ pour les RCDBDays.
Déjà la veille, RKK m'informe qu'ilne partira sûrement pas en même temps que moi, trop fatigué pour prendre la route. En plus ce jour il bosse à 5h jusque 13h...
Donc je prépare mes petites affaires sans oublier la bouteille de Pontarlier pour les potos.
10h j'ai RDV avec RKK à un de ses terminus de bus, histoire de lui faire une léchouille avant de partir. Il commence à pleuvoir... Je le loupe, et je me prends une rincée.
$ù*^ù*.
Je rentre à la maison, il m'informe qu'il sort un peu plus tôt, je décide de rentrer l'attendre avant de partir. J'en profite pour virer mon pantalon de pluie qui me fait mal car trop serré.
et pendant ce temps il continue à faire éclaircie, pluie, éclaircie...
A 13h, RKK rentre, j'hésite encore... Est ce que je pars en bagnole avec la moto sur la remorque ? Boarf pour le retour...
Pis sur un coup de tête, hop, cuir, blouson, casque et je décolle au moment où le soleil tenait depuis un petit moment. Bizouilles à l'homme et c'est darty !
A 15 kilomètres de la maison, je me prend une jolie rincée... courte mais intense... Mais on se décourage pas, c'est décidé je roule seule et je fonce. J'ai prévu les gants de rechange pour le WE donc pas de raison ! (par contre j'ai oublié les tatanes de ville)
Autobeurk jusque Beaune à jouer à saute nuage et ça a plutôt bien marché.
A Beaune, je fait le plein et je file direction Autun. Pour le moment tout va bien, je passe après les nuages. J'ose espérer arriver à bon port sans pluie...
Loupé... Autun ça commence à tomber... et ça n'arrêtera plus... Bloquée derrière des camions, à ne rien voir quand je doublais (j'ai serré une paire de fois les fesses). Chateau Chinon je ne voyait plue rien entre la pluie, la flotte à l'intérieur de la visière, la buée... Bref le bonheur !
D'un coup, petite éclaircie, et un petit bout de Morvan au sec ! sisi !
Mais bon, à 30 bornes de Nevers, le calvaire.... Des nuages très noirs m'attendent et au loin je vois comme un rideau de fumée. Perdu. Rideau de flotte.... en même temps que des travaux de chaussée. J'y passe à 80, je m'arrête pas car si je le fais je ne redémarrerai plus... (Quand on est repassés lundi et que j'ai vu l'état de la route en travaux
j'ai eu du bol de pas me péter la tronche !
Et là, l'apothéose... les nuages noirs se trouvent se former en barrière et les éclairs tombent... J'ai fini sous un orage de folie, première fois de ma vie de motarde que je me trouve là dessous... Encore moins envie de trainer, surtout que je suis toute seule...
Et l'arrivée à Nevers... Pas le temps de chercher, je me mets à l'abri au Leclerc (MULTIMEDIAAAAAA je t'avais dit Babome !!!) à attendre Cathy pour faire le poisson pilote. Dernière épreuve, le chemin de la maison de Babome est caillouteux, troueux... et la cour en gravillons.... je plante la moto dedans et décide de NE PLUS BOUGER ! na. Je ne sais plus qui aura été l'âme charitable qui m'aura rentré la gex au garage, mais encore mille mercis !
Et là, bière, bisous aux copains... et c'était parti ...
Note pour moi même : un gex ça protège beaucoup mieux de la pluie qu'un FZ8...
Note pour moi même bis : ma veste 3/4 est super ! mais faut perdre du bide parceque veste contre bagster, capillarité, bidou mouillé....
C'est le moment tant attendu, c'est le départ pour les RCDBDays.

Déjà la veille, RKK m'informe qu'ilne partira sûrement pas en même temps que moi, trop fatigué pour prendre la route. En plus ce jour il bosse à 5h jusque 13h...
Donc je prépare mes petites affaires sans oublier la bouteille de Pontarlier pour les potos.

10h j'ai RDV avec RKK à un de ses terminus de bus, histoire de lui faire une léchouille avant de partir. Il commence à pleuvoir... Je le loupe, et je me prends une rincée.
$ù*^ù*.
Je rentre à la maison, il m'informe qu'il sort un peu plus tôt, je décide de rentrer l'attendre avant de partir. J'en profite pour virer mon pantalon de pluie qui me fait mal car trop serré.
et pendant ce temps il continue à faire éclaircie, pluie, éclaircie...
A 13h, RKK rentre, j'hésite encore... Est ce que je pars en bagnole avec la moto sur la remorque ? Boarf pour le retour...
Pis sur un coup de tête, hop, cuir, blouson, casque et je décolle au moment où le soleil tenait depuis un petit moment. Bizouilles à l'homme et c'est darty !
A 15 kilomètres de la maison, je me prend une jolie rincée... courte mais intense... Mais on se décourage pas, c'est décidé je roule seule et je fonce. J'ai prévu les gants de rechange pour le WE donc pas de raison ! (par contre j'ai oublié les tatanes de ville)
Autobeurk jusque Beaune à jouer à saute nuage et ça a plutôt bien marché.
A Beaune, je fait le plein et je file direction Autun. Pour le moment tout va bien, je passe après les nuages. J'ose espérer arriver à bon port sans pluie...
Loupé... Autun ça commence à tomber... et ça n'arrêtera plus... Bloquée derrière des camions, à ne rien voir quand je doublais (j'ai serré une paire de fois les fesses). Chateau Chinon je ne voyait plue rien entre la pluie, la flotte à l'intérieur de la visière, la buée... Bref le bonheur !
D'un coup, petite éclaircie, et un petit bout de Morvan au sec ! sisi !
Mais bon, à 30 bornes de Nevers, le calvaire.... Des nuages très noirs m'attendent et au loin je vois comme un rideau de fumée. Perdu. Rideau de flotte.... en même temps que des travaux de chaussée. J'y passe à 80, je m'arrête pas car si je le fais je ne redémarrerai plus... (Quand on est repassés lundi et que j'ai vu l'état de la route en travaux

Et là, l'apothéose... les nuages noirs se trouvent se former en barrière et les éclairs tombent... J'ai fini sous un orage de folie, première fois de ma vie de motarde que je me trouve là dessous... Encore moins envie de trainer, surtout que je suis toute seule...

Et l'arrivée à Nevers... Pas le temps de chercher, je me mets à l'abri au Leclerc (MULTIMEDIAAAAAA je t'avais dit Babome !!!) à attendre Cathy pour faire le poisson pilote. Dernière épreuve, le chemin de la maison de Babome est caillouteux, troueux... et la cour en gravillons.... je plante la moto dedans et décide de NE PLUS BOUGER ! na. Je ne sais plus qui aura été l'âme charitable qui m'aura rentré la gex au garage, mais encore mille mercis !
Et là, bière, bisous aux copains... et c'était parti ...
Note pour moi même : un gex ça protège beaucoup mieux de la pluie qu'un FZ8...
Note pour moi même bis : ma veste 3/4 est super ! mais faut perdre du bide parceque veste contre bagster, capillarité, bidou mouillé....
Ça manque plus qu'un tueur en série et ça pourrait faire un bon film d'horreur
Je blague, c'est génial

Je blague, c'est génial

valait etre motivé pour prendre la route , merci de nous faire partager ton allé chez les fou
tiharibo:
Faut avoir du courage pour venir en Nivernais, tu verra si tu ose franchir le pas mon petit tiharibo.
Le chemin est parchemè d'embuche (pluie, orage, ô désespoir, froid, travaux dangereux . . . )
Une fois arrivé, ne relâche pas ta vigilance, d'autres pièges t'attende (bière, Pontarlier, tour de France des vignobles et la fatal promenade dans le verger, en fin de repas).
Tous cela dans une fatigue extrême, après les séances pistes sur sol mouillé, le décrassage dans le Morvan, avec ses zones humides sous les arbres, ses célèbres gravillons et ses sangliers féroces.
Après des nuits courtes (couché tard et réveil de bonne heure), le retour sonnera pour toi comme une délivrance mais une fois parvenu à la réalité, on te manquera et tu reviendra l’année suivante.
valait etre motivé pour prendre la route , merci de nous faire partager ton allé chez les fou
Faut avoir du courage pour venir en Nivernais, tu verra si tu ose franchir le pas mon petit tiharibo.
Le chemin est parchemè d'embuche (pluie, orage, ô désespoir, froid, travaux dangereux . . . )
Une fois arrivé, ne relâche pas ta vigilance, d'autres pièges t'attende (bière, Pontarlier, tour de France des vignobles et la fatal promenade dans le verger, en fin de repas).
Tous cela dans une fatigue extrême, après les séances pistes sur sol mouillé, le décrassage dans le Morvan, avec ses zones humides sous les arbres, ses célèbres gravillons et ses sangliers féroces.
Après des nuits courtes (couché tard et réveil de bonne heure), le retour sonnera pour toi comme une délivrance mais une fois parvenu à la réalité, on te manquera et tu reviendra l’année suivante.

rô j'en ai la larme à l'oeil ! c'est beau !
et tellement vrai
et tellement vrai

C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit...
Zibounette était partie la veille sous le soleil... et je ne trouvais pas le sommeil. Dans un demi sommeil cauchemardeux, j’imaginais ma douce moitié aux prises avec des motards mono-neuronaux, pour ne pas dire Hollandeux, avinés et pétris de mauvaises intentions dictées par les bas instincts générés par leurs cerveaux reptiliens…
Bref ! j’ai pas dormi.
Le lendemain, le temps était mi figue-mi figue.. entendez par là que des averses intermitentes étaient entrecoupées de pluies éparses… Puis, sur le coup de la mi journée Phébus décida de sortir ses rayons de Morphée et de les diriger vers l’huis du mien logis…
Diantre ! me dis-je in petto (en secouant les draps pour disperser les effluves), c’est le moment c’est l’instant…
J’enfourchais donc mon fier destrier sous le soleil… Pour me faire rincer 50 mêtres après avoir passé le panneau Bourogne !!!
Une tempête tropicale !!! jusqu'à Dôle !! ensuite ce fut plus calme.. Une tempête normale quoi ! C’est la que j’ai découvert le désavantage des bottes étanches sous la pluie.. je dis bien désavantage.. car l’eau remplissant la botte, la membrane a transformé celle-ci en aquarium… au bout de 10km…
C’est vers Autun que la pluie s’est arrêté et ou les camions de rencontre ont pris le relais pour me repeindre a grand coup de flaques d’eau… Ce qui ne fut pas un grand changement pour moi…
Au bout de trois heures trente, alors que les branchies commençaient a me pousser, je vis comme un phare dans le lointain la rue de l’impasse babomique a Coulanges (encore un truc qui coule tien !!) les Nevers… ou je puis enfin retirer mon pied droit de l’aquarium qui me servait de botte…de Nevers ? et ou je ne me glissait pas dans de sèches chaussures (dites le dix fois très vite), puisque dans mon départ précipité sous le soleil, j’avais tout oublié a la maison…
Zibounette était partie la veille sous le soleil... et je ne trouvais pas le sommeil. Dans un demi sommeil cauchemardeux, j’imaginais ma douce moitié aux prises avec des motards mono-neuronaux, pour ne pas dire Hollandeux, avinés et pétris de mauvaises intentions dictées par les bas instincts générés par leurs cerveaux reptiliens…
Bref ! j’ai pas dormi.
Le lendemain, le temps était mi figue-mi figue.. entendez par là que des averses intermitentes étaient entrecoupées de pluies éparses… Puis, sur le coup de la mi journée Phébus décida de sortir ses rayons de Morphée et de les diriger vers l’huis du mien logis…
Diantre ! me dis-je in petto (en secouant les draps pour disperser les effluves), c’est le moment c’est l’instant…
J’enfourchais donc mon fier destrier sous le soleil… Pour me faire rincer 50 mêtres après avoir passé le panneau Bourogne !!!
Une tempête tropicale !!! jusqu'à Dôle !! ensuite ce fut plus calme.. Une tempête normale quoi ! C’est la que j’ai découvert le désavantage des bottes étanches sous la pluie.. je dis bien désavantage.. car l’eau remplissant la botte, la membrane a transformé celle-ci en aquarium… au bout de 10km…
C’est vers Autun que la pluie s’est arrêté et ou les camions de rencontre ont pris le relais pour me repeindre a grand coup de flaques d’eau… Ce qui ne fut pas un grand changement pour moi…
Au bout de trois heures trente, alors que les branchies commençaient a me pousser, je vis comme un phare dans le lointain la rue de l’impasse babomique a Coulanges (encore un truc qui coule tien !!) les Nevers… ou je puis enfin retirer mon pied droit de l’aquarium qui me servait de botte…de Nevers ? et ou je ne me glissait pas dans de sèches chaussures (dites le dix fois très vite), puisque dans mon départ précipité sous le soleil, j’avais tout oublié a la maison…
velleron , coulange meme temp , c est sympa les RCDB days
Roadkicky:
Tu veux pas écrire un livre????? genre 3000 pages... je m'en lasse pas...
C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit...
Zibounette était partie la veille sous le soleil... et je ne trouvais pas le sommeil. Dans un demi sommeil cauchemardeux, j’imaginais ma douce moitié aux prises avec des motards mono-neuronaux, pour ne pas dire Hollandeux, avinés et pétris de mauvaises intentions dictées par les bas instincts générés par leurs cerveaux reptiliens…
Bref ! j’ai pas dormi.
Le lendemain, le temps était mi figue-mi figue.. entendez par là que des averses intermitentes étaient entrecoupées de pluies éparses… Puis, sur le coup de la mi journée Phébus décida de sortir ses rayons de Morphée et de les diriger vers l’huis du mien logis…
Diantre ! me dis-je in petto (en secouant les draps pour disperser les effluves), c’est le moment c’est l’instant…
J’enfourchais donc mon fier destrier sous le soleil… Pour me faire rincer 50 mêtres après avoir passé le panneau Bourogne !!!
Une tempête tropicale !!! jusqu'à Dôle !! ensuite ce fut plus calme.. Une tempête normale quoi ! C’est la que j’ai découvert le désavantage des bottes étanches sous la pluie.. je dis bien désavantage.. car l’eau remplissant la botte, la membrane a transformé celle-ci en aquarium… au bout de 10km…
C’est vers Autun que la pluie s’est arrêté et ou les camions de rencontre ont pris le relais pour me repeindre a grand coup de flaques d’eau… Ce qui ne fut pas un grand changement pour moi…
Au bout de trois heures trente, alors que les branchies commençaient a me pousser, je vis comme un phare dans le lointain la rue de l’impasse babomique a Coulanges (encore un truc qui coule tien !!) les Nevers… ou je puis enfin retirer mon pied droit de l’aquarium qui me servait de botte…de Nevers ? et ou je ne me glissait pas dans de sèches chaussures (dites le dix fois très vite), puisque dans mon départ précipité sous le soleil, j’avais tout oublié a la maison…
Zibounette était partie la veille sous le soleil... et je ne trouvais pas le sommeil. Dans un demi sommeil cauchemardeux, j’imaginais ma douce moitié aux prises avec des motards mono-neuronaux, pour ne pas dire Hollandeux, avinés et pétris de mauvaises intentions dictées par les bas instincts générés par leurs cerveaux reptiliens…
Bref ! j’ai pas dormi.
Le lendemain, le temps était mi figue-mi figue.. entendez par là que des averses intermitentes étaient entrecoupées de pluies éparses… Puis, sur le coup de la mi journée Phébus décida de sortir ses rayons de Morphée et de les diriger vers l’huis du mien logis…
Diantre ! me dis-je in petto (en secouant les draps pour disperser les effluves), c’est le moment c’est l’instant…
J’enfourchais donc mon fier destrier sous le soleil… Pour me faire rincer 50 mêtres après avoir passé le panneau Bourogne !!!
Une tempête tropicale !!! jusqu'à Dôle !! ensuite ce fut plus calme.. Une tempête normale quoi ! C’est la que j’ai découvert le désavantage des bottes étanches sous la pluie.. je dis bien désavantage.. car l’eau remplissant la botte, la membrane a transformé celle-ci en aquarium… au bout de 10km…
C’est vers Autun que la pluie s’est arrêté et ou les camions de rencontre ont pris le relais pour me repeindre a grand coup de flaques d’eau… Ce qui ne fut pas un grand changement pour moi…
Au bout de trois heures trente, alors que les branchies commençaient a me pousser, je vis comme un phare dans le lointain la rue de l’impasse babomique a Coulanges (encore un truc qui coule tien !!) les Nevers… ou je puis enfin retirer mon pied droit de l’aquarium qui me servait de botte…de Nevers ? et ou je ne me glissait pas dans de sèches chaussures (dites le dix fois très vite), puisque dans mon départ précipité sous le soleil, j’avais tout oublié a la maison…
Tu veux pas écrire un livre????? genre 3000 pages... je m'en lasse pas...







si tu lui demande gentillement il pourrait te faire lire les aventures de Kévin... un motard, superbement écrit (d'ailleurs tout sérieusement on cherche à essayer de l'éditer à titre perso au moins pour avoir un beau livre plutot que tout sur papier)
a lire alors , et sur internet tu trouve pas d editeur en ligne ? comme pour les album photo ?
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